~ l'amour .. hein ? le sexe tu veux dire, oh oui, j'adhère ! |will♥|

Oh sweet Los Angeles, you’re so wonderful. Tu parles d’un rêve. Cette ville ressemblait bien plus à Londres qu’à un rêve. Sérieusement. Non, en fait, elle paraissait beaucoup plus belle simplement du fait qu’ici, je recommençais tout à zéro. Le problème du passé, c’est qu’il revient rapidement et bien sûr, au moment où l’on s’y attend le moins. Et oui, sinon, ce n’est vraiment pas drôle. J’écrasais mon mégot sur le béton, les pieds pendant au-dessus du vide, la brise du début de soirée faisant voler mes boucles blondes. Le couché de soleil n’était pas pour se soir, pourtant, j’aurais bien aimé le voir avec William. Qui est ce jeune homme me demandez-vous ? Mon petit ami. Si j’avais cru jusqu’ici à l’amour, oui une fois. Ce n’était pas le bon, voilà ce que j’en tire et il m’a faite souffrir, je dois avancer sans lui et je le vis bien. Enfin, c’est le passé quoi. Il nous rattrape sans cesse, nous faisant mal et nous faisant verser des litres de larmes. J’allais sortir une seconde clope quand j’entendis mon portable vibrer. Mon sourire rayonnait en recevant un message de mon copain m’annonçant qu’il arrivait. Mon cœur palpitait d’excitation. Notre relation, vous le remarquerez, est assez particulière, mais c’est parce que nous ne sommes pas comme tout le monde, oh non, pas le moindre du monde !

Ma vision devint noire d’un coup et un immense sourire s’étirait sur mon visage. Je posais mes mains sur les siennes et entendis un « c’est qui ? » Je murmurais sensuellement son prénom, prenant une de ses mains pour l’amener à ma bouche et lécher l’un de ses doigts en rigolant. Puis je me retournais et me trouvais devant l’homme de ma vie. Je savais qu’il ne ferait pas mal, jamais. Cette certitude que je lui offrais, c’était la dernière fois que je l’offrirais à quelqu’un. S’il me trahissait, c’était la fin, mais je n’y pensais pas. Je profitais de chaque moment avec lui. Mon passé et mon ancien « métier » étaient balayés pour remplacer une jeune fille saine avec un copain sexy et vendeuse dans un magasin branché en ville.What else ?

« Bonsoir mon amour »

Me penchant vers lui, je posais mes lèvres sur les siennes, sans aucune retenue avec les gens qui passaient près de nous. Je pouvais être aussi bien sado-maso que nymphomane, je n’en avais rien à foutre. Tout ce que je demandais, c’était d’être avec cette putain de cocaïne qu’est William et de pouvoir me droguer sans cesse à lui, son odeur, son corps. La folie fait partie intégrante de l’amour, je pense. Le coup de foudre comme ils disent. Mais je préfère juste dire que c’est le fruit du hasard et que je n’ai pas du tout cherché à le suivre jusqu’à réussir à lui parler, ce ne serait pas du tout mon genre bien sûr. Disons qu’accidentellement, nous nous sommes rentrés dedans et j’ai pu engagé la conversation et de fil en anguille … et bien, nous sommes désormais ensemble.

On dit souvent que l’amour donne des ailes, rend aveugle, ou ce genre de conneries. Les gens adorent faire des tonnes sur ce sentiment. Ils ne peuvent dont pas se contenter de la réalité !? Je vous jure sérieux. Voilà, j’écrirais un jour « l’amour pour les nuls » bien sûr, je vendrais mon premier livre à Will. En fait, non, il n’aura pas le choix, je le menacerais avec un couteau pour qu’il l’achète (a) Je ne le tuerais jamais, je préfère largement la violence et la souffrance – à ma manière évidemment ! – à la mort. Quand quelqu’un est mort, ce n’est plus marrant et puis, ça me ferait chier quoi, il est trop parfait pour mourir, je l’aime trop aussi. Oh oui, c’est mignon, je sais. Ce soit aussi il est juste trop à baver et je n’allais pas me retenir de l’embrasser. J’attendais un peu pour le chauffer, je préférais jouer la carte de l’attente, il déteste ça alors ça tombe très bien, comme toujours. Quand je vous disais que l’on n’est pas un couple normal, vous voyez bien ! Je suis d’ailleurs très heureuse de cette originalité. La cause première de cassure d’un couple, c’est bien la routine non ? Ok, l’infidélité aussi, mais s’il me faisait ça, lui, il allait en subir les conséquences disons assez magnifique. À ma façon toujours, donc il pourrait s’attendre au pire du pire.

Notre baisé prit fin. Bah quoi, ça arrive hein, je n’allais pas en mourir, vu que je peux le ré embrasser quand je veux. Bref, passons. Je souris – comme une idiote faut bien le dire, mais c’est l’amour ça – en entendant qu’il m’aime. Encore heureux pour sa vie, mais je ne voudrais pas lui faire de menaces, ce n’est pas mon genre en plus ... Hum Hum. J’écoutais attentivement le reste. Je ne pus m’empêcher de rire un peu. Le nombre de fois qu’il partait de chez lui, c’était hallucinant, mais je trouvais ça toujours aussi drôle parce que la plupart du temps, il rentrait. Ou il allait chez des potes à lui. C’est pareil, c’est comme sa famille sa bande d’abruti là. Bien sûr, j’ai prit le plus con, mais la vie reste parfait ainsi.

« Moi aussi je t’aime et bien sûr, tu peux venir chez moi. Sauf que je ne comptais pas dormir, mais tu t’en doutes n’est-ce pas. De toute façon, tu peux venir quand tu veux, tu le sais très bien »

Et puis, l’avoir pour moi, j’adorais ça. Je ne suis pas possessive – si beaucoup, mais je ne l’admettrais pas – donc je le laisse aller chez ses potes – non quand même, je ne suis pas exigeante à ce point. Ce serait comme s’il m’interdisait de sortir sans lui. Nous n’étions pas mariés après tout. Tant qu’il ne me fait pas de crasse derrière mon dos, tout irait bien pour sa belle gueule. Han, c’est beau l’amour n’est-il pas. Je m’approchais lentement vers lui, avant d’entourer sa nuque de mes bras pour plonger mon regard dan le sien et l’embrasser encore une fois. Pire qu’une drogue, vraiment. Même la plus dur des drogues ne pourrait rien face à lui, sérieusement ! Il est vraiment trop envoutant, je ne m’en rendais pas compte avant de sortir avec lui. Et j’avoue que j’aime énormément ça !

Je savais très bien que je pouvais venir quand je voulais chez elle. Mais je lui avais demande par politesse simplement; Quand j'y pense, Mandy est vraiment la plus sadique des filles que j'ai pu rencontré. Je dis sa car c'est la première fois que je tombe sur une Sado, au fond sa ne me déplais pas, même si elle me torture le max quand on est au lit, puis elle me fait subir, beaucoup subir. Je doit être un sado sur les bord aussi, à mon avis. L'amour qu'elle sentiment agréable, comment les gens font qui n'aime pas ça font pour ne pas aimer. Il y a rien de mieux dans la vie. Que d'avoir une personne à chérir, à câliner, à embrasser et surtout à qui donner du plaisir hum ... . Oui je parle bien de ce que vous pensez ! Le sexe ... . C'est si bon sa d'ailleurs, il y en a qui trouve cela dégueulasse pourtant c'est naturelle, ça fait partie de la nature. Et puis ça donne du plaisir, et c'est amusant enfin c'est normale a part si le partenaire le fais mal pour les filles, et si les filles sont pas bonne pour les Hommes, s'ennuie. mais Mandy, elle c'est une autre histoire, elle joue sur un autre terrains. Avec elle on monte facilement au 7éme ciel le pure bonnheur. Mais elle est à moi héhéhé, soyez pas dég. Enfin bref, on va pas s'attardait ici, plus vite on sera chez, plus nous commencerons les choses malsain ! Ben quoi j'ai envie de faire l'amour, surtout qu'elle a déjà mis sa main sur mon sexe, elle me demandait si je le sentais monter, je répondu d'un simple hum. Je reposai mes lèvres lui donnant un baiser enflammé. Puis je lui lécha la joue, j'ai un grave problème avec ça ! je kiff trop léché la joue des gens XD, tous mes potes proche l'on subit aussi x). Puis je repris la parole, je ne pouvais plus attendre, il fallait absolument qu'on parte chez elle. La vous devez penser qu'il y a que du sexe entre nous, bon notre relation et spécial, surtout avec ce qu'elle me fait subir, et on est tous les deux très pervers, mais j'aime Mandy plus que tous. Si ne peu pas resté là a parler comme des gens normaux et à l'embrassait, c'ets que cette chère Mandy a déjà commençait à me tripoter ! Juste pour me torturé et me taquiné, en tous cas heureusement qu'il fait noir, sinon quand je vais marché les gens veront facile mon petit soucie d'entre jambe.

Tomber dans la routine serait impensable pour moi. Encore mourir. Ah non ! j’avais dit pas de mort. De toute façon, je ne pourrais pas sortir avec une personne en sachant que j’allais me lasser un jour. Si je sortis avec lui, ce n’était pas pour rien. Mais bon, je lui montrais à ma façon. Une drôle de façon mais il ne s’en plaignait pas. Un peu tout de même, sauf qu’il n’avait rien à redire. Je portais la culotte, évidemment, il fallait juste que je lui laisse l’impression par moment qu’il contrôlait quelque chose, alors que je tenais tout par les ficelles. Je suis fan de lui, je ne le dirais pas mieux. Plus le temps passe, plus je l’aime. Cette phrase ne veut rien dire mais sa traduction revient à dire que je ne le lâcherais jamais. Ouais, il est dans une putain de merde. (a)

D’ailleurs, je n’allais pas attendre encore très longtemps pour lui faire comprendre ce que j’avais envie, à ma manière. Innocemment – bien sûr – je posais ma main sur son entrejambe, sur son jeans. Si je m’arrêtais là, c’était que j’avais un problème. J’appuyais et lui chuchotais s’il sentait la chaleur monter, pendant que moi je souriais de le sentir se durcir contre ma main et gémir. Ses lèvres me firent relâcher la torture que je lui infligeais. Dommage, c’était vraiment excitant, mais son baiser équivalait bien cette perte. Mais alors qu’il se coupait lentement, je sentis un liquide mouillé sur ma joue.

Venait-il de faire ce que je pensais !? Je le regardais, l’air un peu con, avant d’exploser de rire en me collant à lui. Quel con ce mec sérieux. Comme sa bande de potes débiles là, il portait vraiment un tas de séquelles impossible à soigner. Merde, je l’aime pour ça. Je calmais mon rire pour laisser place à un petit sourire. Sa proposition me fit rire doucement. Il n’aurait pas eu le choix de toute manière, on y serait très vite arriver et puis, vu comment je venais de l’exciter, j’étais trop fière qu’il me le demande déjà. Mon regard croisa le sien pendant que je léchais de la façon la plus provocante possible mes lèvres.

« Avec grand plaisir mon cœur »

Un petit clin d’œil et je prenais sa main pour commencer à marcher. Si je ne ferais rien jusqu’à chez moi ? Ce serait trop mal me connaître. De temps à autre, je m’approchais au maximum de lui, voire m’arrêter pour l’embrasser et soulever mon bassin jusqu’à ce qu’il colle celui de mon petit ami. Oh oui, je trouvais ça très marrant. Si je ne le chauffais pas plus, je m’ennuierais et puis, je ne savais pas trop de quoi parler. « Tu vas bien » ou « tes potes vont bien » franchement, s’il n’allait pas bien je l’aurais déjà vu et ses potes … bah, si lui allait bien ses potes aussi. Intuition féminine.

Sauf que mon appartement fut très vite à l’horizon. Ce n’était pas grave, j’aurais tout le temps de m’amuser chez moi et puis, je l’avais pour toute la nuit. Haha, le pauvre. Surtout que j’avais un bon nombre d’idée à accomplir. Je ne ferais pas quelque chose qu’il ne voudrait pas, mais j’essayerais au maximum. Tête de mule, ouais. J’ouvrais la porte et me retournais pour embrasser fiévreusement mon petit Will. Petit avais-je dit ? Quand je porte des talons, un peu, mais bon, je suis une naine à côté de lui. Petite par la taille, grande par le talent. Mon talent étant de dominer lors du sexe, et oui !