♫ n'oublie jamais le passé pour avancer dans le futur. pv bill

Je le regardais toujours en suoriant. Il n'était pas encore minuit, il fallait encore attendre une heure avant de passer à la nouvelle anéne, une nouvelle année qui méritait d'être riche en émotion et très bonne. En attendant je jouais avec le t-shgirt en mon frère le sourire aux lèvres.

-Dit frérot, tu te rencontre qu'on va passer encore une année de plus ensemble ?

Je rigolais un peu avant de reprendre.

-Tu vas réussir à me supporter ? Moi je n e sais pas si je vais réussir à te supporter.

Je rigolais bien évidement et je pense qu'il s'en doutait.

Je fus très surpris à la réaction de mon frère en sentant ses mains s'enlever d'un coup sec. J'en restais bouche bée mais je reconnaissait très bien mon, je pouvais que savoir qu'il rigolais puisqu'il m'avait fait comprendre un peu avant qu'il m'aimait comme un fou. Je continuais de le regarder, sa tête ne voulant pas croiser mon regard, un petit sourire s'affichait sur mes lèvres à sa phrase "plus de bisous". Je fis d'abord une petite moue de bébé et m'approchais vers son coup pour lui faire quelques baisers et laisser traîner ma langue dessus.

-C'est ta nouvelle résolution ? Plus faire des bisous à ton petit frère ?

Je vins chercher le lobe de son oreille pour le titiller. Je savais qu'il craquerait, on ne peut pas dire non indéfiniment à son frère.

-Moi je rigolais, je suis d'ailleurs heureux de passer une année de plus avec toi.

Je fus entièrement heureux lorsqu'il me collais contre lui et je fus très satisfait de la réaction de ce dernier à propos de ce que je lui faisais gentiment subir. J'aimais tellement le mettre dans tous ces états et savir qu'il pensais à des choses pas très saine sur moi. Je ne suis pas complètement attardé non, j'aime juste me savoir désiré et aimé, est-ce que c'est interdit ? Je savais parfaitement qu'il rigolais, même si je doutais, je sais lire dans ses pensées.

-Oui...je le sais...

J'enfouis par la suite ma tête dans son cou en le recouvrant de bisous, le serrant bien contre moi, je voulais que les dernières petites minutes qui restait de cette année, soit magnifique, aussi magnifique que la nouvelle année qui se préparait.

Un long frisson venait tout juste de parcourir tout mon corps en entendant les paroles de mon frère. Je n'aurais jamais penser même imaginer un jour mon frère pornoncer ses deux mots de sa bouche avec une intonation qui me ferait autant d'effet. Je prenais le temps de m'humidifier doucement les lèvres devant lui avant de poser doucement mes lèvres sur les siennes faisant une légère pression. Je me sentais comme pousser des ailes dans le dos. Je prolongeais mon baiser avec autant de passion que d'amour que j'éprouvais pour lui, allant chercher délicatement sa langue dans sa bouche.

Je fermais doucement les yeux prolongeant doucement les baisers très sensuellement tout en lui mordant doucement sa lèvre inférieur. Je pouvais m'empêcher de caresser sa nuque du bout de mes doigts et de passer l'une de mes mains dans le colle de son t-shirt pour venir caresser son dos. Il y à que par là qu'il y a encore possibilité de caresser son dos ou son beau torse vu que son haut est toujours trois fois trop grand et que il m'est impossible de trouver l'entré de se sac à patate. Sans être méchant x). Je trouve que ce style lui va si bien *-*. De toute façon ce n'est pas ça qui va m'empêcher de le tripoter.
Je me mit à me dandiner légèrement sur lui, c'était un tic que j'ai toujours eut lorsqu'un garçon avait tendance à commencer de m'exciter.

-Hum....

Je continuais de jouer avec sa langue et de cogner mon piercing contre la sienne.

(Moi c'est pire --')

Une bouffée de chaleur m'envahit en sentant les doigts de mon frère venir se mettre entre mon jean et mon boxer. c'était vraiment un supplice inimaginable, si seulement il s'avait ô combien j'avais envie de lui sauter dessus. Je prolongeais toujours notre fabuleux baiser avec insistance n'ayant vraiment aucune envie de lâcher sa bouche qui me procurait un tel plaisir.

J'avais encore du mal à imaginer que je sortais définitivement avec mon frère. Après tout oui je peux sortir avec un quelconque garçons, l'embrasser, rigoler et coucher avec lui, mais avec mon frère c'était vraiment tout autre chose. La peur que nous deux sa ne tienne ou que je m'en lasse était présente. J'avais toujours cette lueure d'espoir que c'était sûrement lui, sûrement le bon et que j'avais bien fait d'attendre. On se connaissait tellement par coeur et on était tellement....jumeau qu'il pourraît certe avoir des clashes entre nous mais on verra ça l'année prochaine.
Oui, l'année prochaine, déjà le décompte des dix secondes avait commencé alors qu'on ne s'en préoccupait pas. Le temps passe tellement vite...

Je lâchais la bouche de mon frère à contre coeur pour le laisser dire ce qu'il avait à dire et aussi pour le laisser respirer. Je ne voudrais pas qu'il meurt d'étouffement à cause de moi. Un petit sourire se dessinait sur mon visage en entendant ses premiers mots de la nouvelle année qui suivait le rituelle de base. Je frottais aussi mon nez contre le siens plus heureux que jamais.

-Je t'aime aussi Tom d'amour.

En repensant à ma phrase n'était pas très original, miste à part la fin qui faisait un peut "pomme d'amour" xp.

-Bonne année et bonne santé surtout, plein de bonheur, surtout en amour.

Je lui fit un petit clin d'oeil après le mot "amour" espérant vraiment qu'on est plein de bonheur.

(Je vois ça O.O. Ravit que je t'inspire ^-^)

Recevoir des compliments de la part de mon frère jumeau c'était quelque chose qui me rendait vraiment heureux. C'était un sentiment encore plus fort que si c'était quelqu'un de totalement banal, du genre juste un ami. J'avais l'impression d'être parfait à ses yeux et c'était une sensation vraiment étrange. Je voulais bien croire que je n'étais pas le plus moche, qu'il y avait largement pire que moi mais je savais aussi éperdunement qu'il y avait beaucoup mieux que moi. Peut-être que certaines personnes auraient du mal à me croire mais mon frère est beaucoup plus...beaucoup plus parfait que moi.

Nous n'étions jamais d'accord lorsque la conversation se penchait sur ce sujet là. Moi je voulais avoir raison et lui aussi, du coup on tournait en rond car on n'avait pas la même vision des choses. Moi je l'aime et lui ^m'aime. Un amour si parfait, avec deux personnes soit disante parfaite. Notre relation était tellement fusionelle que même si on sortait pas ensemble, j'en suis sûr qu'il y a des gens qui pourraient croire qu'on était un couple, ce qui ne me gênerait en aucun cas, car mon frère est le petit ami idéal.

-T'es trop gentil avec moi Tom ! Dis-je en souriant.

J'étais motivé pour appeler tout le monde c'est vrai. En faite je préférais faire ça tout d'une traite pour ne plus être embêter de toute la soirée. Je savais qu'après ses coups de files passés je ne serais plus assez lucide pour placer trois mots dans le bons ordre avec un sens un peu concret. En plus de ça je voulais finir ma soirée tranquillement avec mon frère jumeau, l'homme que j'aime plus que tout <3.

Je m'empressais alors d'appeler nos parents et de leur souhaiter tous nos voeux de bonheur de la part de Tom et moi. En faite j'avais même trouvé le courage d'appeler tout mon répertoire, enfin juste les gens important. J'essayais de ne pas trop m'attarder sachant très bien que j'étais de nature très bavard et que mon frère me regardait un peu du genre "t'as bientôt finit ?". Je finis par raccrocher et mettre mon portable dans ma poche. Je passais mes deux bras derrière sa nuque et le regardait droit dans les yeux.

-Je suis tout à toi maintenant...

(Désolé du retard >.<)

Le fait de sortir cette phrase était tout à fait volontaire pour qu'il pense exactement se que je voulais qu'il pense. J'avais toujours eut l'habitude de montrer une facette de moi qui était sage et qui était loin d'avoir un esprit pervers, mais n'oublions pas que je restais le frère jumeau de Tom et que de penser ce genre de choses était tout à fait humain. Ils nous arrivaient quand même de temps en temps de parler de choses pas très catholique avec nos amis et il n'y avait rien de mal à ça. Dans ma bande d'ami je m'étais toujours fait passé pour le petit puceau, ils avaient l'air tellement de s'y connaître mieux que moi que ce n'était pas bien difficile. Il faut dire que j'ai dû coucher une fois avec une fille et c'est à ce moment là que j'ai apprit que j'aimais les garçons. On se sent un peu con lorsqu'on ne ressent rien et qu'on reste de marbre. De toute façon la première fois c'est toujours un désastre.

En attendant, je me retrouve dans les bras de l'homme que j'aime, mes lèvres collés au sienne et je me sens complètement plané. Si j'aurais eut des ails derrière mon dos je me serais sans doute mis à volé. Mais bon, pas de Redbull, pas d'ails (xD).Je devais donc rester dans les bras de mon frère jusqu'au restant de mes jours. Mein Gott --". Je rigole bien évidemment, cela est loin de me déranger. Il s'est se montrer de temps en temps doux et gentil avec son petit frère, enfin il à toujours sut se montrer ainsi avec moi, ne rappelons pas les nombreuses disputes qu'on a eut ou même lorsqu'on se taper pour se taquiner (a)

Je pris dans l'une de mes mains, mon verre de vodka que le serveur avait eut la généreusité de remplir, et le buvait d'une traite. Il faudrait que je fasse un minimum attention à ne pas être trop bourré si je veux encore être apte à faire quelque chose avec lui. Enfin, même si je suis complètement pompette se ne sera pas trop dur de réveiller l'instin animal qui est en moi. Je me mordais légèrement la lèvre inférieur en prenant le temps de le regarder sous toutes les coutures, de haut en bas.

-Mais je ne comptais pas partir...

Mes yeux fixèrent le verre que mon double venait de finir en moins de temps qu'il n'en fallait pour que je le suive, commandant tout de suite de quoi boire à nouveau. Son regard me réchauffait tout le corps, pendant que le mien faisait des allez-retour entre ses dents et ses yeux. Je souris à ces mots et murmurais un « Comme si tu pouvais m'échapper » en l'embrassant, pressant avec insistance mes lèvres contre les siennes. Douce vodka. Rester insensible face au charme de mon frère était bien difficile en ayant bu, mais j'essayais de ne pas trop lui montrer. Même s'il savait parfaitement ce que je désirais, bien sûr. L'expression "lire en moi comme dans un livre ouvert" coïncidait très bien, mais il pourrait le dire lui-même.

Mes doigts toujours sur ses cuisses, la musique augmenta d'un coup, me faisant sursauter et donc stopper net notre baiser. Il voulait me faire avoir une crise cardiaque le barman à mettre si fort ?! -__- Je soupirais et ancrais mon regard dans celui de mon double. Je souris. Quel bonheur d'être avec lui. C'est comme si rien d'autre n'existait à part lui.

« Je t'aime Bill »

Comme si je me lasserais un jour de lui dire. Je regardais à nouveau les verres remplis qui arrivaient. Je bus une gorgée, la gardant dans ma bouche, puis souris perversement à mon cher petit ami avant de coller encore mes lèvres aux siennes, faisant pression, pour par la suite lui donner le liquide que j'avais gardé. Je pourrais faire ça avec tout un verre, mais il serait trop vite saoul. Franchement, rien de vaut un baiser-vodka avec lui. Hum, quoique ... Je verrais bien de la chantilly sur son torse, pourquoi pas (a) Quand je dis qu'il ne faut pas plus pour m'exciter que penser à ça ...

Je me trouvais tellement bien dans les bras de mon frère que pour rien au monde je n'échangerais ma place avec quelqu'un d'autre. Des bisous, des câlins, un peu de musique pour mettre de l'ambiance et de l'alcool pour arroser cette nouvelle année qui, commençait et s'annonçait très bien pour moi. J'étais près à recevoir un énième baiser de mon frère sur mes lèvres qui n'attendait que ça, lorsqu'il avait fallut que ce DJ de mes deux mette la musique peut-être un petit peu trop fort, du moins assez fort pour faire sursauter mon frère. A croire que c'était fait exprès pour ne pas qu'il m'embrasse. J'étais assez déçu oui, mais de toute façon ça n'allait pas être le dernier bisou que j'aurais. Et ça bizarrement, j'en étais persuadé.
A peine quelques secondes après je sentis ses lèvres se poser délicatement sur les miennes, sentant le liquide alcoolisé, qu'il avait mit dans sa bouche juste avant, couler dans ma bouche. On partageait à présent vraiment tout. Je prolongeais encore un peu plus le baiser tout en fermant les yeux et pris bien le temps d'avaler la vodka en souriant. Je ne pouvais que sourire surtout en entendant la suite des mots qu'il venait de prononcer. Je plongeais mon regard plus que pétillant dut à l'alcool, dans le sien et me mordait doucement la lèvre inférieur toujours en le regardant.

-Tu sais que tu me donnerais presque envie de toi mon amour ?

Je souriais. Un petit sourire béat et un peu maladroit mais c'était toujours un sourire de plus venant de moi.

L'alcool. Invention aussi merveilleuse que destructrice. Certains boivent pour oublier, d'autres parce qu'ils pensent que c'est la clé du bonheur parfait, et puis d'autres encore pour faire la fête. Dans notre cas, ce serait juste pour faire un peu la fête et célébrer la nouvelle année ... eum, plutôt le fait que l'on soit ensemble je pense. J'ancrais mon regard dans celui déjà brillant de mon double. Ce qui me fera toujours rire avec lui, c'est le fait qu'il ne tient pas l'alcool. Non pas que je sois une espèce sur-humaine super-résistante, mais lui, trois verres et hop, je peux le ramener à la maison. Enfin, c'était avant. Il tient mieux - grâce à moi bien sûr (a) - mais pas très longtemps non plus.

Après notre baiser alcoolisé, je lui avais dit que je l'aime. Mais m'attendant à la même chose, je le regardais en fronçant les sourcils. Presque ? Il avait dit " presque " ? Mais quel affront !! Mon visage s'adoucit en un sourire pervers. Il allait vite regretter son doute. Je passais mes mains sur son jeans en les posant sur ses fesses et lui murmurais en me rapprochant de lui ;

« Tu sais que "presque" ne me va pas mon chéri »

Mes lèvres se posèrent sous son oreille, lui délivrant quelques baisers, voire suçons x) et voyageaient dans tout son cou. Je savais qu'il était encore assez lucide pour savoir ce qu'il faisait. Je n'irais jamais le forcer à quoique se soit. Il resterait indéfiniment mon frère, avant tout. Mais trêve de bavardages, après son cou, j'embrassais passionnément ses lèvres, pendant que mon corps augmentait déjà en température.

J'aurais peut-être dut éviter d'employer le mot "presque", car voilà qu'il fait tous pour vraiment m'exciter maintenant. J'essayais de contrôler alors mes pulsions bien entendu. Pour Tom tout avait toujours été très facile. Il voulait une fille dans son lit, il l'avait, il voulait tout le monde à ses pieds, c'était très facile pour lui. Mais il ne m'aura pas comme ça. Du moins pas tout de suite, je pense réussir à tenir cinq, dix minutes maximum, car en sentant les petits suçons que mon frère avait commencé à me faire je ne pus m'empêcher de sortir quelques petits gémissement de ma bouche, sentant la main de ce dernier venir sur mon jean, là où se trouvait mon entre jambe.

-Hum...jamais satisfait toi...Dis-je en décrochant un petit sourire.

Je me mis alors à approfondir le baiser qu'il venait de me donner. Je pressais plus fort mes lèvres aux siennes, pénétrant ma langue dans sa bouche. Je me mit à frotter mon bassin contre le sien prolongeant tout autant son baiser. Il voulait jouer avec moi mais au final, est-ce qu'il ne tomberait pas dans son propre jeu le petit Tom ?

(Désolé je sais que c'est petit)

Savoir que je lui faisais de l'effet en entendant ses gémissements, c'était comme multiplier tout par 10. Au moins. Pour une fois - même si c'est ce qui se voit et se sent le plus - je ne parlerais pas de mon excitation personnelle, mais aussi de l'amour. Une notion vague hein, n'étant pas du tout un expert en la matière. Mais bon, je ne savais pas non plus m'y prendre avec un garçon la première fois. Comme quoi, tout change. Lui et moi y comprit. Enfin, il restait toujours mon petit frère que j'aime embêter, mais c'était différent maintenant. Non pas que je ne peux plus le charrier (a) , juste que d'autres sentiments plus fort se sont additionner et c'était encore mieux désormais.

Sa remarque me fit sourire. Sexuellement, non, jamais, mais ce n'était pas une découverte pour lui. Sur le plan de l' "Amour", si. J'étais - j'adore me répéter, vous trouvez ça chiant ? pas grave - avec la personne que j'aime et ça n'a pas de prix. Pouvoir passez chaque instant de sa vie encore et encore en compagnie de la personne que l'on juge "parfaite" et qui fait battre à chaque instant notre cœur de façon totalement désordonné. Oui, je pouvais être amoureux, qui l'aurait cru. Je souris dans notre baiser en le sentant être approfondi merveilleusement bien par mon double, et pouvant jouer avec son piercing.

Qu'il se frotte à moi me fit frissonner. Ainsi que gémir mais il l’entendrait assez bien même dans notre baiser qui n’en finissait plus. Ma main caressait un peu plus sur son jeans, avant de s’arrêter. Il ne fallait pas non plus que je l’excite trop. Déjà, pour ne pas gâcher – j’espère – le moment qui allait venir et puis … pour ne pas trop m’exciter moi non plus. Je stoppais momentanément notre grande embrassade et le regardais avec le sourire.

« Je suis déjà pleinement satisfait d’être en couple avec toi »

Bah oui, il fallait quand même que je lui dise. De la musique douce. Je pourrais presque croire à un film. Sauf que Bill est trop parfait pour être dans un film. La télé ne pourrait pas montrer combien il est beau, intelligent … Ouah ! C’est moi qui pense tout ça ? Je m’étonne moi-même (h) Je laissais mes mains se balader sur les cuisses de mon petit ami pendant que je le "dévorais" du regard. S’il savait que je pense tout ça de moi, il n’en croirait pas ses oreilles. Non pas qu’il pense que je le déteste, mais disons que notre lien fraternel n’a pas toujours été très pacifique. Normal après tout entre frères, même si le fait que je l’aime date déjà maintenant.

(Pas de soucie, j'avais aussi du retard dans ma réponse, désolée)

Malgré les apparence qu'il laissait voir et le caractère qu'il montrait, je connaissais mon grand frère (de dix minutes rappelons le) et avais toujours sut au fond de moi que Tom savait aimé mais qu'il attendait juste la bonne personne. Il y à dix ans de cela je n'aurais jamais put penser qu'il éprouvait quelque chose à mon égard et d'ailleurs cette pensée ne me serait jamais venu en tête. Il faut dire que c'est tellement étrange et tordu comme pensée. Enfin il faut quand même revenir à la réalité, il restait mon frère et l'inceste était strictement interdit dans tous les pays du monde sous prétexte que c'est inhumain de sortir avec quelqu'un du même sang que soit. Et pourtant, moi j'en était complètement fou. Oui, fou amoureux. Il était devenu mon obsession en à peine quelques années. Ses lèvres, son torse, son sourire, sa voix, son corps *-*. En un mot : TOUT
Je me ressaisis en entendant ses paroles. Il était déjà satisfait par moi, alors il voulait peut-être encore plus.

-On ne l'est jamais assez chéri.

Je déposais un doux baiser sur ses lèvres et finit par lui sourire de nouveau. En fait je craignais quand même de coucher avec mon frère jumeau. Je l'avais déjà fait avec quelques garçons, lui n'avais jamais eut d'expérience sexuel avec un quelconque garçon ce qui faisait que j'étais plus avantagé que lui sur ce point là et que je ne devrais en aucun cas être intimidé, mais j'avais tout de même peur de ne pas être à la hauteur de ses espérances. Ou même pire, qu'il soit déçut de mon physique. Je me faisais peut-être pleins de films dans ma tête, ce qui était même presque sûr.

-Tu sais Tom...je n'aurais jamais pensée sortir avec toi au par avant et je dois dire que ça me fait tout drôle. J'esquivais un petit sourire maladroit et lui déposais un petit baiser au coin de ses lèvres. Je t'aime.

(T'inquiète c'est pas grave)

Bon il n'avait pas tord, mais avoir l'amour de quelqu'un, c'était déjà immense, surtout pour moi. Adieu aventure d'un soir et toutes ces conneries. Bonjour l'amour que je ne comptais pas perdre. Surtout de voir ses yeux qui pétillent tellement. À croire que je le rends heureux (h) J'avais l'impression qu'il réfléchissait à quelque chose, mais je ne voyais pas trop à quoi. Je ne le dérangerais pas, c'est peut-être important - à l'inverse de quand moi je réfléchis (a) - passons. Je faisais de grands ronds dans son dos et l'écoutais reprendre la parole. Je souris une fois de plus à ses dernières paroles.

« T'es vraiment trop mignon »

Je lui fais un bisou ... sur le nez et reprends avec un grand sourire ;

« Tu sais, je ne savais pas trop comment te dire ce que je ressentais pour toi, mais je ne suis pas déçu du résultat. Et puis, tu t'habitueras vite à sortir avec un dieu comme moi »

Grand sourire innocent. Bien sûr, je rigolais. Ah, oui, la modestie, un bien grand concept mais j'aimais bien le tourner de la façon dont je voulais et puis, il était habitué à mon humour tordu donc au pire, il me frapperait et continuerait la discussion.

« Moi aussi je t'aime »

Je fis un bisou sur sa joue et posais un instant mon regard sur nos verres vides. Je n'avais plus soif. Je pensais à autre chose, mais bon, je n'allais pas couper nos paroles parce que j'avais irrésistiblement envie de lui. Je ne savais pas si c'était la meilleure façon de lui prouver mes sentiments, mais en tout cas, c'était quelque chose d'important pour moi et qu'aucun de nous deux ne devrait prendre à la légère. J'aurais du prendre " philo avancée " comme cours, j'aime bien mes jolies phrases. Modestie Tom, modestie. Non, il n'y avait pas ce genre de cours, mais mon jumeau était un assez bon prof pour me rappeler quand j'allais un peu trop loin. Quand je répète qu'il est parfait !

C'est vrai que je finirais forcément par m'y habituer. De tout de manière je n'avais pas vraiment le choix, non pas que ce soit une corvée de sortir avec mon jumeau mais parce que même si ça me faisait tout drôle, on est loin de décider lorsqu'on tombe amoureux de quelqu'un. Je me demande comment ça se serait passé si je n'aurais rien ressentit pour lui. Lui m'aurait avoué tranquillement ses sentiments et moi je l'aurais regarder dans le blanc des yeux lui expliquant qu'il était mon frère et resterais mon double, lui aurait alors soit réagit très mal et ça aurait détruit notre jour de l'an ou autre possibilité il m'aurait fait croire que ce n'était rien et qu'il n'allait pas me forcer faisait mine d'aller bien alors qu'il aurait été détruit intérieurement. Je me fais tellement de films parfois et m'imagine beaucoup de scène dans ma tête. Des scènes qui n'ont pas lieu d'être puisque rien de tout cela n'est arrivé. Il m'arrive parfois de dire à mon subconscient d'arrêter de trop penser pour éviter que je fasse une surchauffe là haut.

J'esquivais un petit sourire à mon frère en l'entendant juste parler, comme si rien ne s'était passé, comme si je ne m'étais jamais embrouillé tout seul comme un parfait idiot avec ma conscience. Je laissais mes deux posées sur son t-shirt le tripotant un peu dans tous les sens.

-dieu, dieu, c'est vite dit. Dis-je en riant. Je rigole, tu es MON dieu.

Je tirais sont t-shirt pour le ramener vers moi et le coller à moi posant une fois de plus mes lèvres sur les siennes. Je fermais alors les yeux pendant quelques secondes le temps de partager un parfait baiser, et le relâchais juste après.

-Mais sa je le sais x)

Oula ! Si je commençais à me vanter comme mon frère nous étions mal barré. Mais je fis comme si je n'avais rien dit et lui fit un grand sourire.