Reste avec moi, je veux continuer de rêver <3 [Pv Tom]

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J'étais à présent debout, près à monter à l'étage pour m'enfermer dans la salle de bain lorsque la voix de mon frère retenti dans mes oreilles. Je me tournais légèrement vers lui en le regardant. Je soupirais et reprit ma respiration près à sortir quelques mots de ma bouche histoire de lui donner une explication.

-Weil...nein...

Je montais à l'étage retenant encore mes larmes. Je finis par me mettre à courire jusqu'à la salle de bain et m'enfermais à l'intérieur. Je me laissais tombé sur la porte et me mit à fondre en larme. Mon coeur me faisait mal, j'en avait marre, je l'aimais mais pourquoi ?

Moi qui m'attendait à avoir une petite explication, rien du tout. Je m'étais un peu avancé pour l'écouter, mais il partit sans que je ne puisse le retenir. Je baissais les yeux. Puis je me levais et montais. J'avançais vers la salle de bain et toquais. J'entendais des sanglots. Je me mordis la lèvre et toquais encore une fois.

« Ouvre moi »

Il m'en voulait. Comment ne pouvait-il pas m'en vouloir ? Moi qui avait dit que je ne lui ferais jamais de mal, oui, j'avais menti, mais j'aurais préféré respecter cet engagement. Je voudrais le rendre heureux, qu'il n'y ai que nous deux, mais j'avais tout foutu en l'air et ce n'était pas mes erreurs d'ici … c'était chez nous que j'avais empiler conneries sur conneries.

« Je sais que tu m'en veux et que je ne pourrais pas me faire pardonner, mais je ne veux pas que tu portes ça alors que c'est ma faute »

Je voulus ouvrir la porte, mais bloquée. J'aurais du m'en douter, mais j'avais espérer qu'elle soit ouverte. Je me mordillais nerveusement mon piercing. Faite qu'il me réponde, mon cœur se nouait, mon ventre me faisait tout aussi mal. Qu'est-ce que je m'en voulais. Pourquoi j'avais fait toutes ces erreurs ? Pourquoi je lui avais donné mon amour alors que ça n'a fait qu'empirer les choses ?

Invité

Je l'entendais monter et tremblait en l'entendant parlé, il essayait par la suite d'ouvrir la porte mais env vint, puisque j'avais prit le temps de la verrouiller. Je me levais tout doucement ne marchand pas très droit et m'appuyais sur le lavabo pour me rincer le visage je soupirais et vint m'assoir sur la baignoire.

-Tu les aime ?!

Je parlais bien évidemment de toutes les filles avec qui il avait couché et aussi les quelques fille avec qui il était sortit, Molly, Alyson et quelques autres, peut-être avait-il eut des sentiments pour elles, je n'en savait rien.

-Est-ce que t'aime ta fille ?!

J'essayais de poser mes questions en criant assez fort pour qu'il m'entende entre deux sanglots.

Je fronçais des sourcils. C'était ça qui le tourmentait ? Quoique, ils me posaient une colle. Je n'y avais jamais réfléchit réellement. En fait, je pense que je n'ai dit à aucune de ses filles jusqu'à maintenant 'je t'aime', enfin, je n'en suis pas sûr … Sa deuxième question me fit sursauter. Je nez voyais pas quoi répondre en fait, à toutes ses questions. Il n'y en avait que deux, mais c'était les pires je crois. J'allais me mettre à parler, quand je me rendais compte que je n'avais aucune réponse à formuler.

« Non … enfin, sauf une … »

Autant être sincère. Même si je ne lui avais jamais dit, elle aurait du s'en douter, mais ça n'avait jamais été ce que j'éprouvais pour lui. Avec les différentes filles avec qui j'étais, ça n'avait jamais été de l'amour, disons juste le besoin d'être avec quelqu'un pour … pour être avec quelqu'un.

« Je … j'en sais rien Bill, je ne l'ai pas encore vu »

Je n'allais pas dire non alors que je ne l'avais pas vu et … j'appréhendais beaucoup. Déjà être en face de Molly, ce n'était pas ce que je voulais et puis, avec la petite, hum. En fait, j'aurais préféré qu'elle ne me retrouve jamais et que ma fille vive sans moi. Je soupirais et regardais la porte toujours fermée.

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Je sentais dans le ton de sa voix qu'il ne savait pas quoi répondre, qu'il n'était même pas sûr de sa réponse. Je soupirais. J'aurais préféré qu'il s'en tienne à son "non" qu'il rajoute son "juste une". Il devait sûrement l'aimer encore, mon frère était du genre froid et réticent avec les personnes qu'il aime et je savais éperdunement qu'il était hétérosexuel, tout le contraire de moi.

-Et tu l'aime toujours ?!

Je restais à sangloter sur le rebord de la baignoir, tramblant de tout mon être en essayant tant bien que mal d'arrêter de pleurer ou même d'avoir peur. Sa fille, il ne l'avait jamais vu c'est sûr, je ne voulais même pas qu'il la voit moi, je ne voulais pas qu'il vive avec elle et de toute façon il faudrait qu'il fasse un choix, moi ou sa fille.

-Je veux pas...je veux pas que tu la vois ! sinon tu vas retourner avec sa mère et vous allez vivre ensemble, vous marier et tout ce qui va avec !!

Est-ce que j'avais le droit d'interdire mon frère d'aimer et d'être heureux ? Je ne pense pas non.

Assis contre le mur, juste à côté de la porte, j'essayais de faire le ménage, le vrai et dernier dans ma tête. C'était assez compliqué de toute faire aussi rapidement, mais je ne l'avais pas fait jusqu'à maintenant, je ne pouvais m'en prendre qu'à moi si tout allait trop vite. Sa question résonnait dans ma tête. Mais la réponse était tellement normal, simple, rapide, et visible. Non, je ne l'aimais plus. Sinon pourquoi je l'aurais laissé en Allemagne ? Pourquoi je serais parti avec mon frère ? Seulement, qu'il doute comme ça de moi, me faisait douter de mes certitudes. À moi la faute. Je voulus parler, mais il continuait. C'était ça dont je parlais, quand je pensais qu'il ne me faisait pas confiance. Je laissais quelques gouttes salés s'échapper de mes yeux. Pourquoi je devrais me remettre avec elle, vivre avec elle et me marier avec elle … ? Parce que j'allais voir ma fille ? Je savais, ou du moins, je me doutais assez fortement que ce que c'est ce que Molly attendait, mais je n'avais en aucun cas pensé à ça.

Je rabattais mes jambes sur mon torse, posant mon menton entre mes genoux. Je regardais le mur d'en face, laissant mes larmes tombés. J'avais l'impression que la connexion que j'avais eu avec mon frère s'était rompu. Moi qui pensait la maintenir et la renflouer, elle s'était totalement brisée et cassée. Je soupirais doucement et essayais de cacher ma voix un peu tremblante, parlant toujours assez fort pour qu'il puisse m'entendre.

« Non Bill, je ne l'aime plus … »

Et plus doucement ;

« Je n'aime que toi, tu devrais t'en être rendu compte »

Puis je me relevais, me tenant à la poignée de porte. Je me remettais face à cette porte. Si je pouvais, je la démonterais, mais bon, j'avais encore un minimum de bon sens … un minimum …

« Tu m'interdis de la voir, parce que tu penses vraiment que je vais me remettre avec Molly et que je vais me marier avec elle ? »

Je souris tristement.

« Je ne pensais pas que tu me croyais comme ça quand même »

Je me reculais d'un pas.

« Tu sais, je veux bien être celui que je suis avec mes défauts, mais je pensais que tu allais voir un peu plus que les autres … »

La porte était toujours fermée. J'aimerais tellement qu'il voit plus que ce que je montrais. Bon, ok, je n'étais pas un 'idéal' mais bon, si je n'étais revenu avec aucune de mes ex, c'était peut-être parce que je voulais lui prouver que je l'aimais, non ? Hum, si moi je commence à avoir un minimum d'intelligence, ça devint grave. Je riais à voix basse à cette pensée. Ça voudrait dire que j'ai changé, peut-être un bon point …

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Je continuais de l'écouter, recroqueviller sur moi. Sa voix raisonnais comme une petite chanson dans ma tête. J'avais confiance en mon frère et ses paroles étaient sincère, il n'y avait qu'à entendre l'intonation de sa voix. J'essuyais mes larmes avec mon frère et me levais pour me regarder dans le miroir qui était juste au dessus du lavabo. J'avais une tête d'enterment et je n'osais même plus me regarder. Je passais ma tête sous l'eau pour me calmer un peu et me dirigeais vers la porte de la salle de bain. Je déverrouillais tout doucement la porte et l'ouvrais juste après. Je regardais mon frère dans les yeux et me jetais dans ses bras pour l'embrasser fougeusement et le coller contre le mur. Je l'aimais tellement que c'était une sensation indescriptible. Il était si parfait, même si son comportement de matcho est parfois qelque peu agaçant et que fierté m'énerve plus qu'autre chose, je l'aime avec ses défauts remplit de qualité. Et puis je ne voulais pas qu'il change car sinon se ne serait plus mon frère que j'avais connu depuis si jeune.
Je prolongeais alors le baiser cherchant sa langue pour jouer avec.

Silence total. J'angoissais de ne pas savoir ce qu'il se passait derrière cette porte. S'il arrivait quelque chose ? S'il avait mal comprit ce que j'ai pu dire ? J'allais toquer, quand j'entendis de l'eau couler. J'attendais patiemment, ne sachant pas trop si je devais encore parler. J'aimerais bien qu'il me dise quelque chose, ou qu'il m'ouvre tout simplement. Mes yeux fixèrent la serrure quand celle-ci s'ouvrit. Mon regard retrouva tout de suite celui de mon frère. Ses yeux étaient encore rouge et il n'avait plus de maquillage. Mais il était toujours aussi beau. Ce fut soudain, mais je refermais mes bras autour de lui, prolongeant ce magnifique baiser. Je me laissais faire, sentant le mur froid dans mon dos.

J'entrouvrais les lèvres et retrouvais immédiatement la langue de mon double. Je pressais son bassin contre le mien, ou l'inverse peu importe, ça revient au même. Je passais doucement mes mains sous son t-shirt. Est-ce que tu sens comme je t'aime Bill ? Ce baiser me donnait pleins de frissons. Mes yeux étaient fermés pour savourer tout ce dont j'avais rêvé depuis la nuit dernière. J'avais enfin réussit à lui dire ce que je ressentais et ce que j'éprouvais. Ça faisait un bien fou …

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Nos lèvres se rencontrèrent bien assez vite et je sentais combien il pouvait m'aimer. Je crois que personne n'avait ressentit quelque chose d'aussi fort pour moi. Je continuais à jouer avec sa langue cognant mon piercing contre sa langue. Je frissonnais en sentant ses mains venir innocemment sous mon t-shirt. J'attrapais alors son t-shirt trois fois trop grand pour lui, dans ma main et nous dirigâmes vers notre chambre. Je nous laissèrent tombé sur le matelat de notre lit remontant vers son torse pour me mettre à califourchons sur lui ne quittant pas ses lèvres d'une seule seconde. J'enlevais ensuitmon t-shirt et me collais à lui continuant de l'embrassant fougeusement et amoureusement.

Fou de lui. Oh oui, ça résumait assez bien ce que je ressentais, même s'il n'y aurait aucun mot assez fort pour dire tout ce que je ressentais. Je m'amusais assez bien avec son piercing, il m'avait manqué tout autant que le reste du corps de mon jumeau. Une merveilleuse drogue. Je le suivais, le sentant m'empoigner le t-shirt et me retrouvais, en ayant ouvert à moitié un œil, que j'étais dans notre chambre. Je tenais ses hanches en me laissant tomber en arrière. Mon excitation montait en flèche en sentant son bassin contre le mien. J'ouvrais totalement les yeux. Une vision totalement orgasmique. Ououh, je devrais me calmer. Même si mon bas du ventre n'était pas d'accord avec cette idée. Je le regardais une fraction de seconde se dévêtir, puis se recoller à moi pour de longs baisers. J'avais prit la meilleure décision de ma vie. Je descendais mes mains sur ses fesses, les caressant doucement au-dessus de ses habits. Je décollais juste mes lèvres pour lui murmurer ;

« Je t'aime »

C'était trop important à mes yeux pour ne pas lui dire. Je lui souris et me remis à l'embrasser avec toute autant de passion et d'envie qu'il l'avait fait il y a quelques secondes. Mes mains se baladaient sur ses cuisses. Mon bas-ventre me tirait, mais qu'importe s'il ne ferait rien, je voulais juste le sentir contre moi.

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Je le regardais dans les yeux détachant ma bouche de ses lèvres mordillant légèrement son bout de lèvre où se trouvait son piercing. Je lui souriais gentiment. J'étais vraiment fatigué mais maintenant que j'avais commencé ça c'était impossible de reculer, je ne pouvais pas laisser mon frère comme ça en plant, il m'en voudrait trop je pense. J'enlevais donc son t-shirt et le caressait du bout des doigts, le sourire aux lèvres. Moi aussi, si il savait à quel point je l'aimais je crois qu'il ne l'imaginait même pas.

-Je t'aime aussi Tom...

Je le regardais en clignant des yeux et vint m'amuser avec ses tétons. Il était si magnifique que ça devait presque être interdit je crois bien.

Je ne retiendrais même pas mes gémissements. Tous les gestes qu'il faisait sur moi me faisait totalement perdre la tête. C'était ça l'amour ? Hum, ça me plaisait beaucoup finalement. Je l'aidais pour enlever mon t-shirt et me laissais aller sous ses caresses. Son sourire faisait que le mien ne quittait pas mes lèvres. Et ses paroles me faisaient un bien fou. Oui, j'étais totalement sous le charme de mon propre frère, mais qu'importe, l'amour tombe toujours au hasard et c'était tomber sur lui, je n'allais pas me plaindre, c'était la personne qui me connaissait le mieux au monde et … la personne parfaite pour faire simple. Je sentis des caresses à un niveau qui me plaisait assez bien.

« Je sais Bill … hum … »

Je me cambrais doucement sous lui. Bon, ok, je ne l'admettrais pas à haute voix, mais il était largement plus doué que moi, il ne pourrait même pas me contredire. Je levais lentement mon bassin pour le faire rencontrer le sien, un sourire pervers au visage. Bien sûr que je voulais toujours plus et s'il me laisserait … je ne préférais pas trop imaginer en fait, je priais juste pour qu'il m'aide au moins avec mon 'accident'.

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Je voyais mon frère légèrement excité. Je souriais à cette idée et continuais les caresses que je lui faisais sur son torse. J'eus soudain une idée. Quelque de rapide, d'excitant et qui sûrement lui ferait plaisir. Je vins alors lui lécher tout doucement le cou pour aller lui mordiller tout doucement le lobe de son oreille. Je descendais alors tout doucement vers son entre jambe. Je fit descendre tout doucement la braguette de son baggy, enleva le bouton et lui fis descendre tout doucement le long de ses cuisses. Je regardais tout en me mordant la lèvre inférieur son boxer où je pouvais aperçevoir une légère bosse. Je m'en léchais les lèvres d'avance. Je me donnais l'autorisation d'enlever son boxer histoire de le mettre plus à l'aise. Je jettais tout ça au pied du lit et regardais mon frère complètement nu, il était vraiment trop beau il n'y avait pas photo <3

Le sourire aux lèvres, je caressais tout doucement sa queue qui me donnait de plus en plus envie. Je lui sucotait juste le bout faisant tourner ma langue tout autour . Je la mit alors un peu plus dans ma bouche la dévorant avec douceur et lenteur comme si c'était une sucette. C'était encore plus bon que toutes les sucettes du monde que j'avais put goûter dans tout le monde entier.

Mes mains se baladaient simplement sur ses fesses, mes gémissements redoublant d'intensité quand sa bouche dériva dans mon cou, sur mon lobe d'oreille avant de … descendre et descendre encore … Des milliers de sensation déferlaient dans tout mon corps quand je sentais mon baggy partir de sa place initiale. Ses doigts qui traînaient sur mes cuisses me procuraient aussi tellement de choses en moi. Je levais juste un instant la tête pour voir ce qu'il faisait. Il se mordait la lèvre, fixait ma bosse avec envie et se léchait les lèvres. Je préférais replonger ma tête dans l'oreiller, tenant déjà fermement le drap. Mon boxer s'en alla tout aussi vite que mon baggy. Déjà maintenant je voyais des étoiles. Je sentais son regard sur moi, un sourire sur ses lèvres, rien que ça, je pourrais jouir, mais je préférais ne pas trop y penser justement pour que la nuit – début de matinée ? - soit plus longue.

« HAN ! »

Que dire de plus ? Sa main était juste à l'endroit où je voulais qu'il m'aide, autant lui montrer qu'il me faisait du bien. Cependant, je ne pensais pas sentir ses lèvres, ce qui m'arrachait un cri de surprise et de plaisir immense à la fois. Bien sûr, ce cri n'était rien d'autre que son prénom. Sa langue vint appuyer, ce qui me fit hurler encore. Je n'en avais rien à faire que de me casser les cordes vocales et puis, on était seul, alors pourquoi se taire ? Il me donnait un tel plaisir que je voulais que ça dure trèès longtemps, même si ça me tiraillait de plus en plus. Je gardais mes mains sur le drap, car si je les mettais sur mon frère, j'arriverais encore à le tuer tellement il m'excite avec ce qu'il me faisait *-*

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Le fait qu'il crit aussi fort me procurait de long frisson et un plaisir intense. J'aimais quand il criait mon prénom, ce n'était pas la première fois, la première nuit ensemble, qui n'était autre qu'hier, il avait fait de même. Je voulais encore l'entendre crier et encore crier. Je continuais alors à entrer son sexe dans ma bouche sans pour autant m'étouffer avec. Je faisais alors tourner ma langue tout autour de celui là, touchant son intimité avec l'une de mes mains de libre vu que l'autre était entrain de lui faire subir quelques caresses sur sa cuisse. Je caressais doucement son sexe à l'aide de ma langue et de ma main, venant toucher son entrer avec le bout de mon ongle. Je sourias intérieurement me concentrant plus sur ma friandise à déguster.

Moi qui n'avait jamais été dominé, je pouvais avouer que c'était très excitant … voire plus excitant que dominant. Enfin, c'était différent quoi. À chaque fois que je sentais sa bille de métal toucher ma virilité, c'était des centaines d'éclair qui me brouillaient la vue. Non mais woa quoi. Il était tellement concentré, tellement à fond, il me faisait plané comme aucune drogue ne pourrait jamais le faire. Quand je sentis sa main aider sa bouche, je sortis une sorte de grognement de contentement. Je souris et me laissais totalement faire, totalement aller dans tout ce qu'il me faisait. Comme résister … nullement. Mes mains me faisaient horriblement mal, replié en point pour tenir la couverture, mais qu'importe.

« Bill … han oui … 'TIN ! »

J'avais étouffer la première syllabe, je pus la retenir, mais alors je ne m'attendais pas à sentir son doigt si proche de … de mon entré …

« Je vais … vais … Bill … »

En gros, ça voulait dire 'Bill je vais jouir', en espérant qu'il le comprenne très rapidement, qu'il enlève sa bouche – car bon, le sperme, c'est pas super bon quoi – et surtout que j'arrive à me calmer avant que ce ne soit trop tard.

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Le fait même de l'entendre gémir aussi fort me faisait plaisir. Sa pourrait faire bizarre d'entendre son frère crier notre propre prénom, même de sucer son propre frère, mais moi j'avais l'impression qu'on avait le droit que de toute façon rien n'y personne ne pourraît m'interdir ce que je faisais. J'avais toujours eut horreur qu'on me donne des ordres et ce n'était pas maintenant que ça allait commencé. Je suis une forte tête avec un gros caractère.

Je bougeais mon bassin pour me procurer autant de plaisir que lui, et frottais mes jambes sur les siennes tout en fermant les yeux. Tout en entendant la dernière phrase de mon frère qu'il avait pas eut le temps de finir, je retirais ma bouche de son sexe passant un dernier coup de langue très très lentement et retirais entièrement ma bouche de son intimité la lui caressant simpleme. Je plongeais mon regard sur son beau visage, un petit sourire aux lèvres.

Sentir qu'il était tout exciter que moi me faisait perdre la tête. Heureusement, il s'enleva rapidement et je n'eus même pas besoin de me toucher – car il venait de me lécher une dernière fois et me touchait d'une façon bien plus intense que quand c'est moi qui me le fait moi-même - pour jouir contre le matelas, évitant bien évidemment qu'il y est des éclaboussures sur mon double. Je n'avais que mes yeux à moitié ouvert, mais je pouvais l'admirer quand même. Une fois que je repris vite-fait ma respiration, je caressais ses hanches, un grand sourire aux lèvres alors que je pouvais enfin ouvrir les yeux.

« Merci »

Un petit chuchotement, mais je n'arrivais pas à parler très fort en ayant crier aussi fort ^^' J'aimerais bien lui dire 'j'ai envie de toi', mais je ne savais pas vraiment s'il voulait … enfin … maintenant ce n'était plus pareil … mais ça voulait dire que l'on était quoi ? Stop les questions, j'en ai marre de me prendre la tête.

« J'ai … j'ai envie de toi Bill »

D'accord, je suis un peu rouge – couleur tomate pour être précis – mais ça doit être la chaleur de la pièce, hein. Et puis, hum, bah, je l'aime quoi. C'était encore un peu bizarre tout ça pour moi, mais enfin de compte, ce n'est que ce que je ressens, donc ça fait plus de bien de le dire que de le garder pour soit.

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Je repris à mon tour mon souffle et me posais juste à côté de mon frère allant chercher sa main pour entrelacer mes doigts avec les siens. Je soupirais d'aise. Je me sentais tellement bien avec lui. Son "merci" me faisait beaucoup de bien, je posais l'une de mes mains sur son torse nu le lui caresser, frottant ma jambe contre le sienne qui au contraire de moi, était nu. C'est sûr que c'était pas équitable, moi j'étais en jean et lui...à mon plus grand plaisir, tout nu. Je mordais la phrase et le regardais en entendant sa phrase.

-Vraiment ?...

J'approchais ma bouche de son cou pour lui faire des bisous tout le long, descendant vers ses épaules.

-Je t'aime tu sais...

Je serrais doucement sa main qui venait de prendre la mienne. Je le regardais en souriant. Son soupire m'indiquait qu'il avait aimé, c'était l'essentiel à mes yeux. Je ne voulais en aucun cas qu'il se sente contraint à quoique se soit, même si je savais qu'il m'aimait. Sa main qui venait de se poser sur mon torse me fit frissonner. Tout chez lui m'attirait. Et sa jambe me fit l'effet normalement attendu, même si je venais de me libérer il y a quelques secondes, je sentais déjà une future tension me tirer. Il avait le contrôle de tout mon corps … et de mon esprit en plus. Nos regards se croisèrent, alors que je le regardais, comme toujours, perversement.

« Bien sûr … »

Je posais mes mains dans son dos et appréciais ses baisers.

« Je sais … et moi aussi je t'aime »

Mes mains virent entre nous, déboutonner doucement son jeans. Autant être à égalité et puis, il allait sûrement se sentir à l'étroit au bout d'un moment. Je le tenais contre moi le temps de lui glisser sur ses jambes. Mon regard se radoucit juste en une dose assez conséquente d'amour. Je ne voulais que lui, jusqu'à la fin.

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Je fermais doucement les yeux en sentant ses mains venir déboutonner doucement mon jean en poussant de doux gémissement dans son oreille. J'avais l'impression que c'était comme ma drogue, celui qui pouvait me faire planer. Je continuais de me frotter à lui et finis par me relever et me mettre à califourchon sur lui tout en lui lançant un regard de brèse. Je vins alors lui déposer quelques doux baiser sur son torse.

-Moi aussi figure toi...

Je me mordais alors les lèvres devant lui continuant mes caresses sur son torse.

Bon, et bien, mon excitation n'avait pas eu besoin de plus que quelques gémissements de la part de mon double à mon oreille pour revenir. Tant pis, j'avais tout le reste de la nuit – j'espère – avec lui. Hum, qu'est-ce que j'aimais quand il se frottait contre moi comme ça. Je relevais à peine mes genoux, quand il fut installer à califourchon sur moi, voyant son regard qui me faisait me tordre le ventre. Sa phrase me fit échapper un petit rire.

« Encore heureux que tu le sais »

Je faufilais mes mains dans son boxer, le fixant, puis jouais à peine avec l'élastique, avant de le baisser rapidement. Une chose nous séparait bien lui et moi : la patience. Je n'en avais aucune, même si j'aime quand ça dure longtemps, alors que lui pouvait aller doucement, prendre son temps. Je l'admirais vraiment tout entier <3

Invité

Je continuais de le regarder dans les yeux tout aussi passionément que lui en me mordant la lèvre inférieur. Un long frisson, malgré que j'étais bouillant, me parcourrait et je ne pouvais encore retenir un long gémissement en sentant sa main venir jouer avec l'élastique de mon boxer et y entrer. C'est sûr que je restais le plus patient de nous deux, mais c'est parce que j'étais beaucoup moins dépendant du sexe que lui, voilà tout.
J'approchais une fois de plus mes lèvres des siennes, bougeant doucement mon bassin sur son entre jambe. Je lui mordais tout doucement ses lèvres en le regardant.

-T'es près à retourner au septième ciel mon amour ?

Je continuais à faire balader mes ongles ainsi que mes mains sur le long de ses bras. Il m'excitait vraiment mais je ne sais pas pourquoi et surtout comment j'arrivais à durer comme ça, peut-être que j'aimais le voir s'impatienter.

Je retirais entièrement le boxer de mon double, le pressant contre moi, gémissant bien évidemment. Une fois fait, je baissais mes yeux sur les siennes qui se rapprochaient considérablement. Mais mon regard partit vers le plafond en le sentant bouger sur moi, nos deux entrejambes se rencontrant sans plus aucun bout de tissus entre. Je souris, collant mon front au sien. Je murmurais un petit « oui » , frissonnant d'envie. Bon, eum, j'espérais qu'il ne me ferait pas trop attendre, sinon je renverserais les positions et puis, … han nan, mais attendre … Je me levais un peu pour l'embrasser, caressant bien avec insistance ses fesses.

« Bill … allez … »

C'était plus une sorte de grognement entre nos lèvres. Je ne venais pas de dire que j'étais impatient ? Et bien je le répète, tant pis. Je remontais encore plus mes jambes, insistant aussi avec mes genoux et passant mes mains dans les fesses de mon frère. Si je l'excitais, il comprendrait peut-être que je n'aimais pas attendre … même s'il le savait mieux que personne.

Invité

Son petit "oui" me fit sourire. J'espérais au moins ne pas le décevoir, car il parraît que je suis un meilleur coup quand je suis bourré que quand je suis agint. Je le regardais se relever tout doucement et sentais tout doucement ses mains venir un peu plus sur mes fesses, il ne faudrait pas que je le fasse encore trop patienter, à vrai dire je connaissais très bien mon frère et je tenais à ma vie, même si en aucun cas les rôles s'inverserons car je peux me montrer très têtu parfois et je n'aime pas qu'on dicte ce que je dois faire.
Je fis alors descendre mes mains sur ses hanches et vint le pénétrer tout doucement en poussant un petit gémissement de plaisir. Je finis par poser mes deux mains sur les draps qui étaient eux même posés sur le matelat, et me mit à faire de long et doux vas et viens en lui.

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» ♫ c'est ... vraiment toi ? je dois rêver. pv kaitleen |TERMINE|
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